Swift de Henriette Cordelet
Il s’agit du premier cahier de la quinzaine, sur Whatman, que j’ai relié et ce il y a 38 ans. Cela ne nous rajeunit pas…
A l’époque, mon père, qui me l’avait donné, m’avait dit que l’usage pour relier un livre pleines marges, était de couper la moitié des dites marges. Je l’ai fait et l’ai tout de suite regretté. Pour tous les autres, et il y en a beaucoup, vous verrez, j’ai conservé les grandes marges, parce que elles les valent bien….
D’abord, dans cet article, je décrirai la reliure.
Puis, je montrerai le décor.
Alors, j’évoquerai le livre.
I) – Swift de Henriette Cordelet, la reliure
Reliure plein-cuir noir (chagrin).
De plus, la tête est dorée à l’or fin et se termine par une tranchefile chapiteau bicolore noire/blanc (pas terrible).
Gardes en moire, listels gris et charnières dans le même cuir que la couverture.
Titre à la chinoise :
Grandes marges raccourcies :
II) – Le décor
Sur chaque plat on trouve de grands caissons, dans les coins desquels un fleuron a été poussé.
III) – Le livre
13ième cahier de la huitième série.
Édition originale (200exemplaires) publiée le mardi 26 février 1907.
Exemplaire imprimé spécialement pour Mr. René Salomé :
Un des treize exemplaires sur Whatman.
Des ouvriers syndiqué ont composé et tiré ce Cahier de la Quinzaine.
Cela devient lassant.
Quelle classe