L’aiguille creuse de Maurice Leblanc.

D’abord, dans cet article je parlerai de la reliure.

Puis, je décrirai le décor.

Ensuite, je raconterai la vaine menace que je fis aux organisateurs.

Alors, j’évoquerai l’auteur.

Enfin, je révélerai l’existence d’une erreur typographique.

 I) – L’aiguille creuse de Maurice Leblanc, la reliure

Il s’agit d’un demi cuir noir, le reste des plats est recouvert de cuir jaune citron.

Les gardes sont en Anonnay jaune :

 II – L’aiguille creuse de Maurice Leblanc, le décor

Voici une photo de l’aiguille à Étretat.

                       

Il s’agit de morceaux de carte n°4 découpées et recouvertes de cuir noir.

Le tout collé sur le cuir jaune.

Les bords du demi-cuir noir ont étés rehaussés par la même carte pour aplanir le tout.

 III – Le livre

Si vous voulez en savoir plus sur l’immortel créateur d’Arsène Lupin cliquez ici.

Un des 800 exemplaires sur papier vélin d’Arches pour le compte de « Biennale Mondiale de la Reliure d’Art »

 IV – La menace

Je les avais menacé de représailles si je n’étais pas primé !

Ce qui avec le code du livre signifiait :

« .i.e.ai.a..e..i..e..e.oi..i.e.a..e.ou. » et en utilisant la méthode Beautrelet-Lupin on obtenait :

Si je n’ai pas de prix cette fois ci je casse tout!

Mais, soit ils n’ont pas été impressionnés, soit ils n’ont pas traduit mon texte, j’ai du me contenter de ça :

V – L’erreur

Il y avait une erreur dans l’énigme : un point en trop dans la dernière ligne avant la séquence : ..25.2,

comme le prouve la reproduction de l’édition originale de 1909 :

ici le point en trop :

 

 

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