Biennale 2019-XIII, dans cet article je décrirai

• d’abord, comment j’ai préparé les photocopies sur Vélin,
• puis, comment je les ai collées.

I) – Biennale 2019-XIII, préparation des Vélins

Le vélin (de vélot, veau mort-né) est un parchemin (de Pergame, ville d’Asie Mineure) de belle qualité.

J’en avais acheté un beau chez Relma.

Il avait l’avantage d’être fin : 0.2mm et donc de passer, sans faire de bourrage, dans une photocopieuse (pour plus d’explication voir cet article).

Grâce à la gentillesse et à la patience de Mr Phillipe Benoist-Lucy de »Leroy imprimeur » à Chaville, j’ai obtenu ces photocopies sur Vélin :

Alors, pour les protéger il m’a fallu les vernisser.

J’ai testé successivement : le vernis au pinceau, la laque et le vernis en bombe sur une de deux couvertures du verso.

Le gagnant est la bombe vernis satiné odif.

Enfin, j’ai « bombé » les Vélins.

 II) – Biennale 2019-XIII, collage des incrustations

D’abord, j’ai découpé grossièrement les « une de couverture ».

Ensuite, je  les découperai précisément au fur et à mesure de leurs incrustations.

Pour les coller j’utilise le moins de colle possible, en l’étalant avec la pointe d’un cure-dents :

Puis je maintiens les Vélins sous poids 15 min :

Pour obtenir finalement ceci au recto de la reliure :

Idem pour le verso :

Et voici le résultat final:

 III) – Biennale 2019-XIII, animation

Bonus : un GIF.

Prochain article : les fioritures et le bilan financier!