Encarts publicitaires 1926 (1)
Dans cette nouvelle série d’articles je montrerai des encarts publicitaires datant de 1926.
Pour en voir d’autres cliquer ici.
I) – Encarts publicitaires 1926 (1), les encarts
A) Établissements A. Foucher
Il ne reste rien de cette entreprise.
B) A. Degombert Fils
Il ne reste rien de cette entreprise.
C) Kienast
Il ne reste rien de cette entreprise.
Anecdote :
Le chanteur Alain Souchon s’appelait à l’origine Alain Kienast du nom de son père légitime.
Il prit ensuite le nom de Souchon du nom de son son père biologique, amant de sa mère, qu’elle épousera plus tard.
Aucun rapport avec la reliure ?
D) Établissements L. Chambon
Il ne reste rien de cette entreprise.
E) Louis Meunier
Il ne reste rien de cette entreprise.
II) – Encarts publicitaires 1926 (1), l’origine
Tous ces encarts publicitaires proviennent du livre de A. Bourgeois : « Manuel du commis-papetier »
III) – Citation d’Alphonse Allais
. Prosodie nouveau jeu
Le vers néo-Alexandrin, dont j’ai l’honneur d’être l’auteur, se distingue de l’ancien en ce que, au lieu d’être à la fin, la rime se trouve au commencement. (C’est bien son tour.)
Ce nouveau vers doit se composer d’une moyenne de douze pieds; je dis une moyenne parce qu’il n’est pas nécessaire que chaque vers ait personnellement douze pieds.
L’important est qu’à la fin du poème, le lecteur trouve son compte exact de pieds, sans quoi l’auteur s’exposerait à des réclamations, des criailleries parfaitement légitimes, nous en convenons, mais fort pénibles.
Voici un léger spécimen de ces vers néo-Alexandrins :
Tout savoir sur Alphonse Allais en cliquant ici!
Pour vous délasser de la reliure essayez donc d’y jouer!
Étourdissant !
Moi ?
Quel poème ! Très drôle et original,
Yep
Mais, que sont devenues toutes ces machines ???
À la casse.